Trois vulnérabilités ont été corrigées dans Microsoft Lync. La vulnérabilité la plus importante permet d'exécuter du code arbitraire à distance si un utilisateur affiche du contenu partagé contenant des polices TrueType spécialement conçues.
Avis de sécurité
Une vulnérabilité a été corrigée dans .NET Framework. Cette vulnérabilité permet d'exécuter du code arbitraire à distance sur le système d'un utilisateur si celui-ci visite une page Web spécialement conçue à l'aide d'un navigateur capable d'exécuter des applications de navigateur XAML.
Treize vulnérabilités ont été corrigées dans Microsoft Internet Explorer. La majorité sont des exécutions de code arbitraire à distance et touchent de nombreux éléments du navigateur.
Une vulnérabilité a été corrigée dans Microsoft Windows Remote Desktop Protocol. Elle concerne l'accès à un objet effacé ou mal initialisé, un attaquant peut l'utiliser pour exécuter du code arbitraire à distance.
Une vulnérabilité a été corrigée dans le noyau Linux. Celle-ci peut être exploitée par un utilisateur local pour effectuer un déni de service.
Une vulnérabilité a été corrigée dans Check Point Endpoint Connect. Cette vulnérabilité est due à un chargement de bibliothèque non sécurisé et peut être exploitée pour exécuter du code arbitraire à distance.
Une vulnérabilité de type injection de code indirecte à distance (XSS) a été corrigée dans HP Web Jetadmin.
Onze vulnérabilités ont été corrigées dans HP Onboard Administrator. L'exploitation de ces vulnérabilités peut mener à divers accès non autorisés à des données distantes et à des dénis de service à distance.
Une vulnérabililité permettant de contourner la politique de sécurité a été corrigée dans MantisBT. La vulnérabilité concerne l'API SOAP et est due à une mauvaise vérification des permissions. Son exploitation permet d'effacer des notes d'erreur (bugnotes) appartenant à d'autres utilisateurs.
Une vulnérabilité a été corrigée dans MySQL et MariaDB. À condition de connaître un nom d'utilisateur valide, la vulnérabilité permet de s'authentifier, en utilisant un mot de passe incorrect, avec une chance sur 256 en moyenne. La vulnérabilité est due à une conversion de type incorrecte.