Avis de sécurité


CERTA-2012-AVI-313 Publié le 11 juin 2012
Une vulnérabilité due à une erreur de configuration a été corrigée dans les produits F5 BIG-IP et F5 Entreprise Manager. Cette vulnérabilité permet à un attaquant non-authentifié de se connecter à un système vulnérable en tant que root en utilisant SSH.
CERTA-2012-AVI-314 Publié le 11 juin 2012
Une vulnérabilité a été corrigée dans MySQL et MariaDB. À condition de connaître un nom d'utilisateur valide, la vulnérabilité permet de s'authentifier, en utilisant un mot de passe incorrect, avec une chance sur 256 en moyenne. La vulnérabilité est due à une conversion de type incorrecte.
CERTA-2012-AVI-310 Publié le 8 juin 2012
Deux vulnérabilités ont été corrigées dans PostgreSQL. Leur exploitation permet notamment de réaliser un déni de service (CVE-2012-2655) ou de contourner la politique de sécurité (CVE-2012-2143).
CERTA-2012-AVI-308 Publié le 6 juin 2012
Le gestionnaire de statistiques de sites web Piwik présentaient des vulnérabilités qui permettaient de réaliser de l'injection de code indirecte (XSS), des insertions de fichiers locaux (LFI), des dénis de service à distance et d'exécuter des commandes à distance sans vérification suffisante.
CERTA-2012-AVI-309 Publié le 6 juin 2012
Le démon kadmind de MIT Kerberos présente une vulnérabilité qui permet de réaliser un déni de service à distance.
CERTA-2012-AVI-307 Publié le 6 juin 2012
Plusieurs vulnérabilités ont été corrigées pour les produits Mozilla. Leur exploitation permet notamment l'exécution de code arbitraire à distance.
CERTA-2012-AVI-306 Publié le 5 juin 2012
Deux vulnérabilités permettant à une personne malintentionnée d'effectuer des injections SQL ont été corrigées dans Ruby on Rails.
CERTA-2012-AVI-303 Publié le 4 juin 2012
Une vulnérabilité dans le traitement des scripts (script-fu) permet à un utilisateur malveillant de provoquer un débordement de mémoire et d'exécuter du code arbitraire.
CERTA-2012-AVI-304 Publié le 4 juin 2012
Le magasin de certificats de Microsoft Windows a été mis à jour pour révoquer des certificats intermédiaires utilisés frauduleusement pour signer des codes malveillants, notamment par le logiciel malveillant « Flame » .